Une double exposition dont l’objectif était de mettre en regard une vingtaine d’œuvres sur papier datant des années 1950 de Brauner et une trentaine de pièces d’art « primitif » provenant d’Afrique, d’Océanie et d’Amérique du Nord ». Des statues et des masques dont le dénominateur commun est la magie et dont on retrouve l’écho dans le foisonnement créateur de Brauner, une œuvre complexe et énigmatique où le subconscient prend une grande place.
Catalogue publié à l’occasion de l’exposition organisée par les galeries Samy Kinge et Schoffel-Valluet (Paris, octobre-décembre 2010) avec un texte de Didier Semin, un article de Philippe Bourgoin et une préface de Jeanne Brun, conservatrice du Musée d’Art Moderne de Saint-Étienne.
Victor Brauner, Sans titre (Bestiaire), gouache, 1963. Victor Brauner, 1948. Photo Sylvie Stauffacher. © Galerie Samy Kinge